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50 nuances de désirs ...
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7 novembre 2017

Jeune mais loin d'être innocente ! (Partie.2)

Tout d'abbord je vous conseille de lire la partie 1, afin de mieux comprendre sa suite ci-dessous. Je vous ai dis revenir de ces longs mois d'absence avec des articles croustillants, en effet, je reviens avec une saga ("Jeune mais loin d'être innocente") de petites histoires érotiques. Cette saga parle essentiellement de ce que j'ai vécu étant mineure. Il faut savoir que depuis très jeune, j'aime les hommes plus âgés (je ne parle pas de viellards mais d'homme d'une dizaine d'années de plus que moi), cette saga évoque donc la façon dont j'ai réussi à séduire et à avoir une relation avec ces hommes expérimentés que je convoitais tant. Si ça vous intéresse la première nouvelle de la saga parle d'un séduisant Bar-Man Espagnol que... je..... que je n'ai pus m'empêcher de séduire. Cette seconde liaison eu lieu environ 3 mois après la première de la saga.

E P I S O D E 2

Ma mère (à l'époque où je vivais chez elle) invita à diner un très bon ami à elle qui disait m'avoir vu naître. Il me vit, s'exclama, me prit dans ses bras et me baisa la joue. Ne pouvant m'empêcher de remarquer que c'était un jeune-homme extrêmement séduisant et eyant énormément de charme, je lui rendis son câlin. Tout au long du repas ma mère fut prises par des coups de téléphones qu'elle reçevait du travail, pendant ce temps ce charmant jeune-homme et moi avions d'intéressantes et longues conversations. Nous parlions de tout et malgrés mon jeune âge il ne semblait pas considérer que je ne puisse pas être à la hauteur de telles conversations : nous parlions de politique, de nos lectures, de films, de son travail et de comment je m'en sortais pour les cours. Nous avons sûrement parlé plus d'une heure avant que ma mère nous rejoigne, à mon plus grand déplaisir... Néanmoins, la longue conversation que je vennais d'avoir avec lui me donna l'impression de le connaître depuis toujours et nos regards complice durant la suite du repas ne furent que confirmer ce que je ressentais. Cet ami de ma mère était informaticien et très bon en mathématiques, matière dans laquelles je n'excellais pas, il fut donc convenu par ma mère et lui qu'il me donnerais des cours 2 fois par semaines le mercredi soir et le samedi matin (on verra plus tard à quel point ses cours on était productif, enfin, sauf pour les maths). Avant qu'il nous quitte, lui et moi avions échangés nos numéros, je ne pouvais que me réjouïr de cette situation qui, on le verra bientôt, bouleversera complétement mon quotidien. Le lendemain matin mon téléphone vibre, LUI : "Bonjour, j'éspère que tu as bien dormis. Pour ma part à merveille après la magnifiue soirée que j'ai passée. Notre conversation également fut fort intéressante pour moi et je crois moi aussi t'avoir intéressée. On se revois bientôt pour les maths ? Je te propose de commencer dès ce mercredi de 18h30 à 20h30 ? Est-ce que cela te convient ?" Comment dire que ce message me remplit de joie et fit naître en moi une terrible excitation. Mercredi 17h, je file sous ma douche et m'épile... Quoi ? Vous trouvez que j'en fais trop pour un premier rendez-vous qui n'en est pas même un ? Et bien autant vous dire que mieux vaut prévenir que guérir et sans vouloir vous spoiler la suite : vous avez tord. 18h25, je suis devant son immeuble, j'entre, monte les escaliers, je suis devant sa porte. A la vue de son nom inscrit sur la porte je frissone, pendant les 5 secondes qu'il mit à venir m'ouvrir des dizaines de questions se bousculèrent dans ma tête : Ais-je raison de faire cela ? Suis-je à la hauteur d'une telle relation ? Cela peut devenir dangereux ! Mais quand il ouvrit la porte et que nos regards se croisèrent, toute question n'avait plus lieu d'être. J'entre, je suis à sa mercie, mais, ce qui est le plus étrange : c'est que cette sensation me plait. Nous nous asseyons sur le canapé, sur la table basse deux cafés, décidément cela commence toujours par un café dis-je tout bas (référence à l'épisode 1). Tels deux amis s'étant perdus de vue nous discutions de nos vies et perdions comme ça 20 minutes de cours. Le cours commença, il était si craquant et sexy avec ses lunettes que je le regardais fixement pendant qu'il faisait cours mais n'écoutais mot de ce qu'il disait. LUI : "Eh ! Tu m'écoutes là ? Veux-tu un autre café pour te réveiller ? - MOI : Non, ça va aller merci. J'ai assez chaud comme ça". Un sourire se dessina sur ses lèvres puis il continua à faire son cours. A 19h30, il dit que nous étions arrivés à la moitié de l'heure de cours et que nous méritions tout de même une petite pause, aquiesçant, je lui souri. Nous voilas de nouveau sur le canapé mais cette fois-ci nous ne parlions pas, nous nous regardions, je dirais que 5 bonnes minutes se sont passés comme ça, à nous regarder et à nous sourire. Quand tout à coup il prit la parole est dit, LUI : "Tu comptes me regarder comme ça longtemps ou est-ce que tu comptes m'embrasser ? MOI : A toi de me le dire, après tout, c'est toi l'adulte responsable" dis-je d'un ton arrogant et quelque peu provoquant. LUI : "Excellente répartie... Je vois que tu aime provoquer... Ce n'est pas pour rien que tu me plais" dit-il avant de se jetter sur moi en m'embrassant langoureusement. Il s'arrêta brusquement. LUI : "Et maintenant ?", savant très bien ce qu'il sous-entendait, MOI : "Et maintenant.... bah.... on fait des maths ?!" dis-je d'un ton farceur, LUI : "Roooh ! Tu m'agaces" dit-il sur le même temps que le mien. Aussitôt eut-il finit de parler qu'il me prit dans ses bras, me porta jusqu'à sa chambre et me jetta sur le lit. Il vint sur moi et sans cesser une seconde de m'embrasser, il me déshabilla entièrement. Il ne put s'empêcher de s'exclamer : "Mais c'est qu'en plus d'avoir un cerveau elle a un corps de femme cette enfant", je crois que mon regard le lui fit comprendre, il ne m'appella plus jamais comme cela. Il se déshabilla, enleva d'abbord sa chemise, puis j'eu le droit à un striptease. En regardant ce corps, qui désormais m'appartenait, je me rendait compte qu'après voir goûter aux vrais hommes je ne pourrais plus jamais goûter à ceux que je considérais des "petits garçons", ceux qui avaient mon âge (on verra plus tard que je m'étais trompée sur cette affirmation). Nous avions tout les deux peurs que son sexe (assez imposant) ait du mal à comment le dire.... à rentrer ! Nous décidions donc de commencer par un 69 afin que mon corps soit près pour notre premier rapport. Une fois que je fus.... euh.... "trempée" nous commencions les choses, entre guillemets "sérieuses". Il vint sur moi, me demmanda si j'étais sure et si je n'allais pas regreter et après un accord de ma part, il me pénétra. Au moment préçit où son sexe entra dans le miens je me souviens avoir dit à moi même : "Wahou, la plus belle baise de ma vie !". Cela a était étonnement long, du moins, comparé à mes rapports présendants car lui, n'arrivais pas à jouir tant que je n'avais pas moi même joui. Ce qui me plaisait chez ces adultes que j'ai pus fréquentés, c'est que : 1) Il m'apportaient beaucoup de culture et de savoirs. 2) Il étaient beaucoup plus attentionés au lit : ils pensaient d'abbord à mon plaisir qu'au leur.Et enfin, 3) Les relations sont extrêmement plus simple car ils ont beaucoup plus d'éxpériences et sont beaucoup plus à l'écoute. Nos "cours de maths" durèrent un peu moins d'un an, je me rappelle avoir cassé avec lui deux jours après mes 17 ans car il était beaucoup trop possesif.

Vous l'aurez donc compris, à cette époque il ne me restait plus qu'un an pour être dans l'illégal (ce que je trouvais passablement excitant et jouisif) et fréquenter des HOMMES MAJEURS, 4 épisodes de "Jeune mais loin d'être innocente !" vous attendent, abonnez vous pour connaître la suite !

sans-titre

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